APR FRANCE : SOKHNA AWA DIOP MBACKE ET AMETH SARR EN PASSE D’ETRE REMERCIES ?

10 - Mai - 2021

On ne connaît pas encore son agenda, mais Macky Sall pourrait prendre d’importantes mesure pour insuffler un nouveau souffle à son parti en France. En tout cas c'est ce qui se murmure avec insistance après sa récente rencontre, à Dakar, avec des responsables de l’APR/Diaspora, en l’occurrence Aliou Ndaw Fall, le ministre Mamadou Talla, Malick Gaye et le consul Amadou Diallo.
L’une des principales décisions que le patron de l’APR pourrait prendre, renseignent nos sources, c’est de destituer Sokhna Awa Diop Mbacké de la tête du mouvement des femmes APR de France. Son maintien à cette station serait rédhibitoire à toute tentative de réconciliation des femmes du parti. Depuis 2016, le mouvement des femmes est en proie à une profonde crise laquelle a conduit une partie de ses membres à mettre en place une  entité dissidente dénommée Comité de pilotage. Selon nos informations, des partisans de Mme Mbacké seraient en train de mener une action de lobbying pour dissuader le président Macky Sall.
L’autre grosse information qui a suinté de l’audience est le possible remplacement du coordinateur de la DSE, Ameth Sarr, par Amadou Talla Daff. Le président a pris note mais n’a pas encore tranché, s’accordent à dire différentes sources.
CSS

Commentaires
2 commentaires
Auteur : Posté le : 07/06/2021 à 19h36

Je pense qu'Ameth Sarr n'a ni le physique ni de niveau intello pour diriger l'APR France détruite par les complotistes dirigés par Moïse Sarr et ses acolytes.

Auteur : Posté le : 11/05/2021 à 04h46

Que souhaitent réellement les militants, les sympathisants, les mackystes et les mouvements de soutien au Pr du parti Monsieur Macky Sall ?

Force est de constater qu'au lendemain matin de la victoire à l'élection présidentielle 2019, nos "responsables" politique APR-France, en qui le Pr avait mis toute sa confiance, avaient fourni un piètre résultat, par rapport à l'atteinte des objectifs exigés, par le patron du parti.
Au delà des frasques, que nous ne citerons plus, car maintes fois étalées sur la place publique, ces "responsables", n'ont présentés aucune forme de respect envers cette base, cheville ouvrière de tous les plans d'action et campagnes électorales depuis 2012 à nos jours. Ainsi ils s'en sont tout bonnement envolés pour la cérémonie d'investiture du Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky Sall, laissant la base sur sa fin. En effet cette destination leur laissait entrevoir un nouvel horizon, or ils n'y ont trouvés que porte close et un accueil glacial.
Malgré le pied de grue et les moults tentatives de rapprochements, ils en sont revenus bredouilles et encore plus détestés, par les soutiens du Pr Macky Sall, en France.
Si bien qu'un signal fort, digne d'un tremblement de terre, leur a été adressé, via la fermeture du siège du parti à Boulogne, et par la saisie du véhicule de la DSE.
Alors, comment analyser ces consignes venant du Président de l'APR .
Était-ce une punition ? Auquel cas, celle-ci a eu de graves répercussions sur le maillon de la chaine ou était-ce une manière de leur dire de remettre l'église au milieu du village en leur soufflant la restitution des sommes engagées, par le parti pour la campagne présidentielle 2018-2019 ? Dans l'hypothèse d'une gestion nébuleuse des fonds de la campagne présidentielle ; pour l'heure nous ne pouvons qu'en faire des suppositions.
Outre ces fâcheux épisodes dignes d'une saga, nous déplorons un vide politique en France, tout comme dans les autres diasporas, à tel point que chacun tente de s'organiser comme il peut, via des mouvements de soutien à des leaders politiques, via par des tentatives de réorganisation du parti sans les ténors, ou bien en affichant une attitude attentiste.
Du fait du rejet de la base, de la chute sans précédent de la popularité et de la capacité de mobilisation des "ténors" de France, il serait probablement judicieux que l'APR puisse changer de paradigme, et ainsi supprimer sa gestion à la verticale, afin de sous tendre vers une holacratie. Pour l'heure le vide joue son rôle en matière de fauteur de trouble et ne laisse rien présager de bon si nous tardons à réagir, tout en sachant que les prochaines élections arrivent à Grand pas.
En somme, nous espérons, une meilleure gestion des hommes et des programmes, permettant la vulgarisation des actions gouvernementales et ainsi accompagner notre leader politique, dans les missions qui lui ont été confiées, au soir du 24 février 2019.

Mariama Diallo
Miltante APR-FRANCE

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