CHRONIQUE EDUCATION ET FORMATION: CE QUE JE REPROCHE A MACKY SALL (PAR CHEIKH SIDOU SYLLA)
31 - Décembre - 2020
En demandant au ministre de l’Education nationale d’augmenter le nombre d’inspecteurs, Macky Sall a pris une décision salutaire. Mais ce qui dérange dans le propos du président de la République, lors du lancement du rapport international du Programme d’Analyse des Systèmes Éducatifs (PASEC), c’est quand il ajoute que si l’enseignant «n’a plus peur » de l’inspecteur, « il n’y a plus d’éducation ».
Autres actualités
19 - Juillet - 2021
Agression du surveillant du lycée de Sangué: l’élève auteur des faits exclu
L'élève Maodo Malick Ndione en classe de 5e qui avait agressé son surveillant Amady Diawara au lycée de Sangué (région de Thiès) a...
18 - Juillet - 2021
VERS UN RENFORCEMENT DE LA STRATÉGIE NUMÉRIQUE DU SYSTÈME ÉDUCATIF (MINISTRE)
Le ministre de l’Education nationale, Mamadou Talla, a annoncé que la stratégie numérique du système éducatif national sera davantage renforcée...
17 - Juillet - 2021
Actes d’incivisme à l’école : Talla fait la leçon aux élèves
Face à la persistance des cas d’actes de vandalisme et de violence notés ces derniers temps dans les écoles et établissements scolaires, le ministre de...
17 - Juillet - 2021
LYCÉE DE OUROSSOGUI : Des élèves jettent leurs blouses et leurs cahiers dans l'eau
Ce qui s'est passé au Cem de Hann n'était que la face visible de l'iceberg. Si au lycée de Sindia la salle des professeurs a été incendiée, un autre fait...
Là encore il y'a manifestement de l'archaïsme dans la façon de penser le système educationnel autour de coercitions et de peurs reléguant au second plan le professionnalisme et la vocation qui doivent être les seuls moteurs du partage des savoirs et des connaissances. Il faut déjà que cet aspect policier des inspecteurs disparaisse pour laisser place à un système de complémentarité versus partage et conseil au bénéfice strict des apprenants de toute sorte.. C'est a ce prix qu'on arrivera à des académies performantes et distinguées pour que définitivement nos universités et organismes de formation figurent dans les classement mondiaux. C'est une question de volonté politique mais également d'ouverture aux nouveaux enjeux. Tu devrais être au milieu de la réflexion académique chez nous et pas à Paris