CHRONIQUE EDUCATION ET FORMATION :ET SI LE SENEGAL OPTAIT POUR LA PROFESSIONNALISATION DE SES ENSEIGNANTS (CHEIKH SIDOU SYLLA)

07 - Janvier - 2021

Pour améliorer la qualité des enseignements/apprentissages, le Sénégal ne devrait-il pas opter pour la professionnalisation de ses enseignants ? En tout cas c’est l’une des pistes choisies par les pays qui ont les meilleurs systèmes éducatifs.

Commentaires
1 commentaires
Auteur : Posté le : 07/01/2021 à 18h35
(5/5)

Vous posez clairement le problème pour ne pas dire la difficulté des apprentissage en Afrique a l'aune de ce qui pourrait être une revisite du système d'enseignement. La formation tout au long de la vie qui a fini d'être la règle en Occident devrait permettre d'objectiver les savoirs pour une meilleur adaptation aux processus cognitifs des apprenants. En alliant grâce aux TIC la stratégie d'enseignement des groupes à l'individualisation et au suivi permanent avec la disponibilité des mooc et autres dispositions de la classe ouverte et à distance, on devrait vite arriver à de meilleurs résultats. La voie salutaire d'une professionnalisation des enseignants est plus que nécessaire. Elle participe ainsi à l'évaluation des usages, des contenus et des moyens de dispenser les cours de manière soutenue et durable.
Bravo l'expert

Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités


03 - Mars - 2022

CHRONIQUE EDUCATION ET FORMATION: IL FAUT "SENEGALISER" LES PROGRAMMES SCOLAIRES (CSS)

Au Sénégal, les programmes scolaires ne sont pas en cohérence avec les valeurs de notre société, il est temps que les autorités de l’Education...

02 - Mars - 2022

VERS UN RÉAMÉNAGEMENT DU CALENDRIER SCOLAIRE EN RAISON DE LA GRÈVE

Macky Sall a évoqué, mercredi, en Conseil des ministres, ‘’l’urgence’’ de réfléchir au réaménagement du calendrier scolaire...

24 - Février - 2022

CHRONIQUE EDUCATION ET FORMATION : L’EDUCATION A UN COUT ET LE SENEGAL, QUI ASPIRE A L’EMERGENCE, NE PEUT PAS L’IGNORER (PAR CHEIKH SIDOU SYLLA)

L’éducation, surtout de qualité, à un coût, et le Sénégal, qui aspire à l’émergence, ne peut pas l’ignorer.