« COMMENT LE DECES DE TANOR DIENG A POUSSE WADE A REMANIER LE PDS »

27 - Août - 2019

Oumar Sarr établit un lien entre le décès d’Ousmane Tanor Dieng survenu le 15 juillet 2019 en France, et le récent « remaniement » au Pds. Dans un entretien accordé à l’Observateur, l’ancien n°2 du parti de Me Wade a expliqué : « Le seul enjeu véritable de ce renouvellement, c’est le remplacement du Secrétaire général national en cas d’absence. On me dit que le décès de Tanor Dieng a été un facteur déclenchant. »
Invité à en dire plus, Oumar Sarr a ajouté : « Je pense que c’est plutôt l’effet créé au niveau du Parti socialiste avec une guerre des chefs qui aurait pu avoir lieu. Ils ont certainement dû faire des projections sur le Pds, en cas d’absence ou d’incapacité du Secrétaire général national. »
Cette sortie d’Oumar Sarr intervient dans un contexte de crise au Pds suite au « remaniement » procédé par le Secrétaire général national, Abdoulaye Wade. Oumar Sarr, Babacar Gaye, Me Amadou Sall etc, qui ont démissionné de leurs nouveaux postes respectifs, ont estimé que Me Wade avait violé les « statuts et éléments » du parti.
Cheikh Ndoye

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

13 - Mars - 2024

Compositions le lendemain de la Présidentielle : les étudiants disent niet

Selon les étudiants de l’Université de Thiès, il est hors de question de composer au lendemain de l’élection présidentielle fixée au 24 mars....

13 - Mars - 2024

PRESIDENTIELLE : ME ABDOULAYE TINE REJOINT LA COALITION DIOMAYE PRESIDENT

Suite à des discussions suivies d’une rencontre avec les responsables du Parti PASTEF, il s’est dégagé une forte convergence de vues sur les enjeux politiques,...

13 - Mars - 2024

PRESIDENTIELLE: L'APPEL D'AMADOU SYLLA, PRESIDENT DE SOS CASAMANCE, AUX CANDIDATS

« Je trouve que c’est de la discrimination. » Propos du président de l’association SOS Casamance sur l’article 28 de la Constitution qui exige que tout...

13 - Mars - 2024

PLAIDOYER POUR LA PROTECTION DE LA DEMOCRATIE SENEGALAISE (PAR JEAN TOUDIE GBOHOU – THIERNO MADJOU BAH)

Ces prochaines lignes sur la crise institutionnelle et démocratique au Sénégal, osons le mot, n'ont aucune prétention à l'analyse politique, encore moins...

13 - Mars - 2024

SENEGAL, LES ELECTIONS D’UNE REPUBLIQUE A REBATIR (PAR OSWALD SARR)

Enfin, on entre dans le tunnel pour espérer voir son bout : que les Sénégalais puissent voter le 24 mars 2024. Mais les rumeurs les plus folles courent pourvu qu’elles...