Dialogue national : Famara Ibrahima Sagna “fâchent” le général Mamadou Niang

02 - Septembre - 2019

Entre le général Mamadou Niang, patron de la Commission politique du dialogue national, et Famara Ibrahima Sagna le boss du Dialogue national, le courant ne passe pas bien.
A l’origine de cette situation, explique L’As, l’attitude de M. Sagna. En effet, le Général Niang et Cie, qui sont tenus de lui rendre compte des différentes étapes de leurs travaux, lui ont en effet adressé trois correspondances, qui sont malheureusement restées sans suite.
Installé depuis le 28 mai 2019, Famara Ibrahima Sagna est toujours resté dans son coin. Il n’a posé le moindre acte. Et selon un de ses proches contacté par L’As, il exige son installation officielle par le chef de l’Etat.
LS

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

28 - Mai - 2022

MINISTRE DE LA SANTE : POURQUOI LE PROFESSEUR SEYDI A DECLINE L’OFFRE

Sollicité par le président Macky Sall pour remplacer le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, le professeur Moussa Seydi « a...

28 - Mai - 2022

MACKY SALL DANS JEUNE AFRIQUE: "MON TRAVAIL DE PRÉSIDENT EST LOIN D'ÊTRE ACHEVÉ"

L'entretien devra paraître ce lundi 30 mai, mais le titre fait déjà jaser sur les réseaux sociaux. Dans une interview exclusive avec Jeune Afrique, le chef de l'Etat...

26 - Mai - 2022

11BébésCalcinésATivaouane: Yaw suspend ses activités politiques

En attendant que toute la lumière soit faite sur les circonstances de la mort des 11 nouveau-nés à l'hôpital Mame Abdoul Aziz Dabakh de Tivaouane, la coalition Yewwi...

26 - Mai - 2022

LEGISLATIVES : AMADOU TALLA DAFF NOMME PRESIDENT DU COMITE ELECTORAL DE BBY FRANCE

BBY France affûte ses « armes » en perspective des élections législatives du 31 juillet, dans le département Europe du Nord, de l’Ouest et du Centre....

25 - Mai - 2022

Moustapha Diakhaté: "le Conseil constitutionnel fait dans la supercherie et a cédé aux menaces de..."

"Au Sénégal le ridicule ne tue pas au Conseil constitutionnel". C'est la première réaction faite par l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk...