FAUX BILLETS/SIDY FALL HAUSSE LE TON : « HONTE A UNE CERTAINE PRESSE QUI VERSE DANS LA DESINFORMATION »
Le 19 mai dernier, le journal en ligne e-média a publié un article mensonger dans une affaire de faux billets, citant nommément le Président Pape Diop, à tort, comme faisant partie des complices des faussaires. Cette information, qui s’est propagée comme une trainée de poudre, s’est révélée totalement fausse, mensongère et a été démentie par le colonel Ibra Wathie de la gendarmerie nationale, chargé de l’enquête. Dans une sortie médiatique, il a tenu à préciser que dans ce dossier, aucun homme politique n’était impliqué. Nous tenons à féliciter le colonel et son équipe pour le professionnalisme dont ils ont fait preuve, disculpant totalement le Président Pape, qui n’est mêlé, ni de près, ni de loin à cette affaire de grand banditisme.
Ce procédé ignoble d’e-média tendant à salir le président Pape Diop rappelle les pratiques et les heures sombres d’un certain Ndiogou Wack Seck, recruté à l'époque par le Premier ministre Macky Sall. Ce mercenaire de la plume, spécialisé dans la diffusion de fausses nouvelles s’était tristement illustré par un type de journalisme ordurier à la tête du journal « Il est midi », qui se résume par un torrent de boue.
Nous nous posons la question de savoir à qui profite le crime, tant l’objectif non avoué est de salir la réputation du Président Pape Diop, un patriote émérite ; ancien Maire de Dakar, ancien Président de l’Assemblée nationale et ancien Président du Sénat du Sénégal. Ce riche parcours suscite respect et considération.
Nous exigeons de la part d’e-média des excuses publiques à l’endroit du Président Pape Diop, des excuses pour avoir diffamé, et porté gravement atteinte à l’honorabilité d’un homme d’Etat qui a toujours agi au service du Sénégal. Nous rappelons à e-media que le journalisme, ce n’est pas la quête du sensationnel, mais la recherche de la vérité à travers des faits vérifiés, prouvés et recoupés. Nous demandons à e-média de s’intéresser plutôt au député faussaire Boughazelli et à ses complices nichés au cœur de l’Etat, lesquels manœuvrent pour lui obtenir une liberté provisoire. Si la liberté provisoire est accordée à ce faussaire et trafiquant, nous en informerons les partenaires du Sénégal.
Honte à une presse qui verse dans la désinformation. Oui à une presse libre, responsable et dotée de principes déontologiques.
M. Sidy Fall coordonnateur du FPDR France
Fait à Paris, le 29 mai 2020