IMMIGRATION : CE QUE PRECONISAIT LE PM MICHEL BARNIER LORSQU'IL BRIGUAIT L'ELYSEE EN 2021

05 - Septembre - 2024

"Le laisser-aller n’est jamais une solution en politique. Nous mesurons aujourd’hui les conséquences du laxisme et du déni. Nous devons nommer le problème, le regarder en face et le traiter", affirmait à l'époque Michel Barnier au Figaro. Tendant d'une ligne très ferme sur l'immigration et la sécurité, il avait proposé un "moratoire" sur l'immigration de trois à cinq ans. Dans cette optique, le candidat voulait "cesser les régularisations inconditionnelles des sans-papiers", "accélérer le parcours du demandeur d'asile", durcir les critères du regroupement familial et réduire la délivrance des visas long séjour.

Il avait surtout surpris, au vu de ses expériences européennes, en prônant un référendum pour permettre de retrouver une "liberté de manœuvre" en matière d'immigration, suggérant ainsi que la France devrait s'affranchir des règles garanties par les instances juridiques de l'UE et du Conseil de l'Europe. Face aux critiques, il avait maintenu qu'en matière d'immigration, "si on ne change rien, il y aura d'autres Brexit". Des positions notamment partagées par le Rassemblement national.

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

15 - Novembre - 2024

Amadou Ba : « Il faut que Sonko, premier ministre, ne soit pas en conflit avec Sonko président du parti Pastef… »

Le leader de la coalition « Jamm Ak Njeuriñ » s’en est encore pris au leader de Pastef. Amadou Ba, suite aux déclarations d’Ousmane Sonko lundi dernier, a...

15 - Novembre - 2024

Guinée: les Forces vives opposées à l'avant-projet de Constitution

En Guinée, les Forces vives dénoncent l'avant-projet de Constitution. Depuis la semaine dernière, le Conseil national de transition sillonne le pays pour mener une «...

15 - Novembre - 2024

REDÉFINIR LA RUPTURE APRÈS LES LÉGISLATIVES !​​​​​​ ( Par Mohamed GASSAMA)

Faut-il chercher midi à quatorze heures ? Assurément non. Les choses sont simples et même trop simples pour tout bon observateur de la scène politique. À...