KELLEL NDIAYE « NE SOUHAITE » PAS FINIR COMME FATOUMATA NDIAYE DE « FOUTA TAMPI »
Elle mène activement, depuis trois ans au moins, un combat pour l’éveil des consciences. Pour que sa région natale, le Fouta, sorte des profondeurs de la pauvreté. Sa cible, les politiques, les natifs de la région et les tenants du pouvoir. A ses yeux, ils ont été incapables de prendre en charge les besoins naturels des populations. Son activisme l’expose naturellement à la vindicte des inconditionnels de Macky Sall. L’histoire retient toutefois qu’elle n’est pas seule dans le combat pour « l’émergence » du Fouta. L’histoire retient aussi qu’une autre dame, Fatoumata Ndiaye de « Fouta Tampi », qui utilisait les mêmes « armes » qu’elle, a finalement capitulé. Les billets de banque du pouvoir qu’elle aurait reçu sont passés par là. Kellel Ndiaye ne pourrait-elle pas suivre les pas de sa « sœur » ? La question fait sens.