« LE PRESIDENT LE PLUS VIOLENT… » : UN REQUISITOIRE DE 20 MN DU PRESIDENT DE PASTEF QUI « ENFONCE » MACKY SALL

24 - Novembre - 2021

Ses détracteurs qui le considèrent comme un va-t-en-guerre, un inconditionnel de la violence vont peut-être revoir leur copie. En conférence de presse, mercredi 24 novembre, quelques jours seulement après avoir déclaré qu’il ne signerait pas la charte de non-violence que le Cadre Unitaire de l’Islam veut soumettre à la classe politique, Ousmane Sonko a pointé le doigt accusateur sur Macky Sall. A l’en croire, il est « le président le plus violent », de l’histoire politique du Sénégal. Pendant une vingtaine de minutes, le président de Pastef, dans son réquisitoire, a tenté de justifier son propos.

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

28 - Mai - 2022

MINISTRE DE LA SANTE : POURQUOI LE PROFESSEUR SEYDI A DECLINE L’OFFRE

Sollicité par le président Macky Sall pour remplacer le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, le professeur Moussa Seydi « a...

28 - Mai - 2022

MACKY SALL DANS JEUNE AFRIQUE: "MON TRAVAIL DE PRÉSIDENT EST LOIN D'ÊTRE ACHEVÉ"

L'entretien devra paraître ce lundi 30 mai, mais le titre fait déjà jaser sur les réseaux sociaux. Dans une interview exclusive avec Jeune Afrique, le chef de l'Etat...

26 - Mai - 2022

11BébésCalcinésATivaouane: Yaw suspend ses activités politiques

En attendant que toute la lumière soit faite sur les circonstances de la mort des 11 nouveau-nés à l'hôpital Mame Abdoul Aziz Dabakh de Tivaouane, la coalition Yewwi...

26 - Mai - 2022

LEGISLATIVES : AMADOU TALLA DAFF NOMME PRESIDENT DU COMITE ELECTORAL DE BBY FRANCE

BBY France affûte ses « armes » en perspective des élections législatives du 31 juillet, dans le département Europe du Nord, de l’Ouest et du Centre....

25 - Mai - 2022

Moustapha Diakhaté: "le Conseil constitutionnel fait dans la supercherie et a cédé aux menaces de..."

"Au Sénégal le ridicule ne tue pas au Conseil constitutionnel". C'est la première réaction faite par l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk...