Loi d’amnistie : les députés de Pastef ont voté contre

07 - Mars - 2024

L’Assemblée nationale s’est penchée mercredi sur le vote du projet de loi portant amnistie sur les faits criminelle et correctionnel allant du 1er février 2021 au 25 février 2024. Apres les plaidoiries, les députés de l’ex-parti Pastef ont voté contre la loi n°05/2024 portant amnistie des faits liés aux manifestations politiques qui ont lieu au Sénégal de février 2021 à février 2024 de même que leurs collègues du PUR et de Taxawu Sénégal.

La loi d’amnistie a finalement été votée par 94 « pour » députés de la majorité et du groupe parlementaire Liberté, démocratie et changement contre 49 « non » et deux abstentions.

Rappelons que les députés du Pastef avaient opté pour l’abstention durant les travaux en commission des lois.

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

22 - Octobre - 2024

Ousmane SONKO défie Amadou Ba à un débat public sur la situation économique du pays

Le Premier ministre Ousmane SONKO, a lancé, lundi, un appel à Amadou Ba, pour un débat public. Cette demande survient alors que Amadou BA semble avoir choisi de sortir de...

22 - Octobre - 2024

CONFERENCE DE PRESSE : VOICI LA DECLARATION LIMINAIRE D'AMADOU BA

Mesdames et Messieurs de la presse, Chers compatriotes, Avant toute chose, permettez-moi d'exprimer ma plus profonde solidarité envers nos compatriotes victimes des intempéries,...

22 - Octobre - 2024

DE LA CIVILITE ! (PAR HAMIDOU SALL)

Les principes, et de l’impérieuse nécessité de les défendre, sont la seule justification de cette prise de position. La civilité c’est le respect...

22 - Octobre - 2024

OUSMANE SONKO ET LA JUSTICE, POMPIER OU PYROMANE ? (PAR IBRAHIMA THIAM)

En matière de justice, voir Ousmane Sonko jouer les rôles de justicier, juré et pourquoi pas exécuteur des hautes œuvres nous donnerait à penser que le...

22 - Octobre - 2024

MAINTENIR LES LEGISLATIVES ANTICIPEES SERAIT UNE VIOLATION INACCEPTABLE DE LA CONSTITUTION (PAR BIRAHIM CAMARA)

Maintenir les législatives au 17 novembre 2024, serait une violation inacceptable de la Constitution qui garantit le droit, la liberté et l'égalité de tous les...