POPULISTES VOUS AVEZ DIT ? PARLEZ AUX SENEGALAIS AU LIEU DE PARLER DE OUSMANE SONKO (PAR ABDOU SONKO)

06 - Novembre - 2024

La campagne pour les élections législatives anticipées au Sénégal a débuté le 27 octobre 2024, en vue du scrutin du 17 novembre. Elle survient après la dissolution de l'Assemblée nationale en septembre 2024 par SE Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Le Président, dans une allocution quelques heures avant le début de la campagne, a appelé les acteurs politiques, sans aucune distinction, à mener une campagne pacifique, en insistant sur le respect et en condamnant les tensions communautaires qui avaient commencé à se faire sentir ces dernières semaines
Le parti PASTEF, sous la direction de son Président et Tête de liste Ousmane Sonko, mène, comme à son habitude, une campagne en toute intelligence avec les populations. Cette campagne électorale d'Ousmane Sonko se tient sous le sceau d’une déclinaison territoriale et sectorielle de l’Agenda National de Transformation du Sénégal issu du Projet de PASTEF, avec une Vision à l’horizon 2050, un MasterPlan stratégique 2024-2035 et un Plan quinquennal 2025-2029.
Le Président Ousmane Sonko, en tournée dans toutes les régions Sénégal, s’adresse directement aux populations, réaffirme les engagements du Président de la République, de son Premier Ministre et de son gouvernement à doter les huit pôles de développement économique d’infrastructures modernes, de plateformes industrielles, de campus d’innovation, d’infrastructures logistiques, pour encourager et développer des activités économiques dynamiques. A chacune des étapes de sa tournée, Ousmane Sonko détaille les potentialités, le type d’activité et d’infrastructures à développer dans ce territoire.
Voilà l’offre politique que nous servons aux Sénégalais, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, de toutes catégorie socio-professionnelle.
Malheureusement, une partie de l’opposition, à commencer par les récents vaincus d’il y a seulement huit mois, préfèrent le mépris, la manipulation, la diabolisation, la déconsidération, la dramatisation. Finalement, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, l’APR et sa Convention des Cadres ne reculeront devant rien quand il s’agit d’attaquer, d’agresser de calomnier leurs adversaires politiques afin de défendre leurs intérêts crypto-personnels, quoi qu’il en coûte et quelles que soient les conséquences.
Du moment que l’APR et sa Convergence des Cadres sont amnésiques ou font semblant de l’être, nous leur rappelons que c’est en mars 2021, sous le régime du Président Macky Sall que le Sénégal a connu d'importantes tensions politiques, suite à sa volonté d’exercer un troisième mandat et de liquider l’opposant politique Ousmane Sonko. Une affaire qui aurait dû rester privée, a été instrumentalisée par un régime finissant, incapable de répondre aux préoccupations et aspirations du peuple. Un régime corrompu, qui, jusqu’en mars 2024, a durement réprimé dans la violence toute manifestation et sous lequel plusieurs dizaines de jeunes ont été tués, plus d’un millier de prisonniers politiques comptabilisés, des tortures exercées sur d’honnêtes citoyens, des acteurs politiques obligés de s’exiler ou de rester plusieurs mois à l’extérieur du pays pour ne pas prendre le risque d’être arrêtés à l’aéroport et d’être emprisonnés. Un régime qui, au vu de la débâcle électorale annoncée, des poursuites suites aux crimes contre le peuple sénégalais, a précipitamment et honteusement fait voter une loi d’amnistie pour se couvrir et tenter d’échapper à la justice.
Le président Macky Sall et son régime ont bafoué et mis à terre l’état de droit au Sénégal. Ils ont exercé une violence contre les institutions de la République en refusant d’appliquer des décisions de justice, en tentant de reporter des élections sur des allégations fallacieuses. Ils ont exercé des violences répétitives sur leurs opposants politiques, sur la presse et les journalistes
C’est dans ce contexte que l’APR et ses Cadres viennent nous accuser de populistes.
L’autoritarisme, le recul de la démocratie, les privations de droit et de liberté, le mensonge d’état, la manipulation et le maquillage d’indicateurs économiques n’ont jamais été aussi criants et scandaleux que sous le régime de l’APR et du Président Macky Sall.
Sur la Casamance, il est scandaleux d’essayer d’installer de faux débats sur l’armée et sur les prérogatives du Président de la République. Dès sa prise de fonction, le Président de la République a déployé le Plan Diomaye pour la Casamance (PDC) qui prend en compte plusieurs aspects sur le plan économique et sur celui de la Paix. Le Premier Ministre Ousmane Sonko a réaffirmé solennellement l’unité du peuple sénégalais et l’indivisibilité de la souveraineté nationale. Il a ensuite récemment mis en garde les pyromanes et vendeurs de rêves sur la sacralité de cette unité nationale. Arrêtons de tout politiser, et il y a des sujets qui ne le méritent pas et celui de la Casamance en fait grandement partie.
Pour l’heure, nous restons FOCUS sur la campagne électorale et le scrutin du 17 novembre 2024 pour apporter au Président SE Bassirou Diomaye Diakhar Faye et à son Premier Ministre Ousmane Sonko une majorité écrasante à l’Assemblée nationale.
Dans la Circonscription Europe du Nord de l’Ouest et du Centre (ENOC), France, Belgique, Luxembourg, Suisse, Allemagne, Angleterre, Hollande, Suède, Finlande, Dannemark, Norvège, nous appelons nos compatriotes à voter et à choisir le bulletin PASTEF.
Les candidats investis (Abdou Sonko, Fatou Diop Cissé, Samba Diouf, Tamsir Bathily, Mariama Dieng, Casimir Preira) sillonnent actuellement l’ensemble du territoire de façon méthodique et efficace. Les problématiques de la Diaspora, les questions, les suggestions et autres recommandations sont recueillies sur le « Mur Citoyen », une idée innovante mise en place depuis le meeting de Lyon et qui servira, à la fin de la Campagne, de base de réflexion, de source d’inspiration pour nos futurs représentants au sein de l’hémicycle, une fois les candidats élus (Inchallah).
Abdou Sonko
Candidat Titulaire
Tête de Liste PASTEF de Europe du Nord de l’Ouest et du Centre (ENOC)

 

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

05 - Mars - 2024

Le journaliste Daouda Mine : "Le processus électoral va reprendre à zéro, si Macky Sall…"

C'était l'une des questions majeures lors du dialogue national : le processus électoral va-t-il se poursuivre ou sera-t-il recommencé ? Finalement, la première...

04 - Mars - 2024

Loi d’amnistie : le projet de loi déposé à l’Assemblée, la conférence des présidents se réunit ce lundi

Le projet de loi portant amnistie examiné et adopté en conseil des ministres mercredi dernier, est sur la table du Président de l’Assemblée nationale.Macky Sall...

04 - Mars - 2024

[Documents] Loi d'amnistie : Macky Sall dévoile les motifs

Le chef de l'Etat passe à l'acte. Macky Sall, qui dit tenir à l'appaisement de l'espace public sénégalais, a pris un décret, ce 1er mars, portant...

04 - Mars - 2024

Altercation entre les pros Sonko et ceux de Khalifa Sall : Le FDD annonce des poursuites judiciaires…

Le Front de défense et de résistance (FDR/Fippu) qui regroupe différentes entités politiques et de la société civile dont « Aar Sunu Élection...

04 - Mars - 2024

APR : Macky Sall poussé à la démission avant le 2 avril

Des manœuvres sont en cours au sein de l’Apr pour pousser Macky Sall à la démission avant le 2 avril. A 29 jours de la fin de son mandat qui expire le 2 avril 2024, Macky...