Relai de discours violents en campagne électorale : Le CNRA rappelle à l’ordre les médias
30 - Octobre - 2024
La violence refait surface en cette période de campagne pour les législatives du 17 novembre. Ce qui a suscité la réaction du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA). Dans un communiqué diffusé ce mardi, parcouru par PressAfrik, le CNRA invite les « médias à plus de professionnalisme dans le traitement de l’information surtout pour les propos susceptibles de provoquer de la violence ou des tensions ».
Le CNRA a également rappelé que « ce n’est pas leur rôle surtout en période électorale, de diffuser des contenus de nature à créer ou propager des situations de tensions ». Il les exhorte à « veiller à ce que de tels manquements ne se reproduisent ».
Autres actualités
03 - Août - 2023
Présidentielle 2024: Macky Sall reçoit les candidats de Benno au palais ce soir
Le choix du futur candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar pour l’élection présidentielle de février 2024 fait toujours polémique. L’identité de...
03 - Août - 2023
Niger : Le chef de la junte « rejette en bloc » les sanctions, « refuse de céder à toute menace »
Le chef des militaires qui ont pris le pouvoir à Niamey, le général Abdourahamane Tiani , a déclaré mercredi « rejette(r) en bloc les sanctions »...
03 - Août - 2023
Dissolution du PASTEF : La RADDHO, la LSDH et la FIDH condamnent une « mesure grave »
La Fédération Internationale pour les Droits Humains (FIDH), la Rencontre Africaine des Droits de l’Homme (RADDHO) et la Ligue Sénégalaise des Droits de...
03 - Août - 2023
Faucons et Apocalypse ! La chronique de KACCOR sur la situation politique actuelle
On a rêvé de paix. On l’a désirée ardemment comme des assoiffés perdus dans un désert rêveraient d’une bouteille d’eau fraiche....
03 - Août - 2023
« CES ACTIONS CONSTITUENT UNE ATTEINTE A LA DEMOCRATIE ET A LA LIBERTE D'EXPRESSION » : LA REACTION DE AMADOU BARRY SUITE A L’EMPRISONNEMENT DE SONKO ET A LA DISSOLUTION DE PASTEF
Mes chers concitoyens,
C'est avec une force inouïe que je rédige ces lignes aujourd'hui, après une longue réflexion sur l’arrestation du président Ousmane...