SONKO OU LA STRATEGIE DESESPEREE DU CHAOS (COJER FRANCE)

Il est des moments dans l’histoire où se taire est irresponsable, fermer les yeux pendant que d’autres tentent de semer le chaos est une trahison envers la Nation.
Pour la première fois dans l’histoire du Sénégal, un citoyen, fut-il un homme politique, a osé tenir publiquement ces mots ignominieux : « Soit le Président élu me tue, soit je le tue ».
Et nous n’avons pas le droit de nous taire face à des déclarations aussi graves et dangereuses. Pis, il laisse entendre qu’il ne répondrait pas à la convocation de la justice du pays qu’il souhaite diriger un jour.
La liberté d’expression ne sera jamais un blanc-seing pour diffamer, menacer ou semer les graines de la haine et du chaos !
Non, nous ne pouvons accepter que pour sa jouissance et ses fantasmes les plus sombres, Ousmane Sonko appelle à tuer un citoyen sénégalais qui plus est le Président élu, cela ne doit pas rester sans conséquence.

Puis, de quoi Ousmane Sonko a-t-il peur au point d’allumer des contres feux aussi dévastateurs ?
Éviter lâchement un procès contre une jeune fille d’une vingtaine d’années, serait sa principale motivation.
Le statut d'homme politique ne donne pas à Ousmane SONKO un droit supérieur à celui des autres Sénégalais, droit qui le protégerait contre un procès.

Faut-il rappeler que la justice a respecté toutes les étapes, étapes durant lesquelles le sieur Sonko a refusé, à la surprise générale, d’effectuer un test ADN qui aurait pu le blanchir, en tout cas aider à la manifestation de la vérité, et de répondre à certaines questions du juge. Cette même justice a pris l'ordonnance de renvoi et de mise en accusation devant la chambre criminelle. Cette décision allant dans le sens du ardent de l’accusé qui réclamait avec insistance un procès, et les archives sont encore là. Étrangement, depuis l’annonce dudit procès, Ousmane SONKO perd tous ses moyens et se mélange dans des déclarations schizophréniques dur fond de contradictions qui frisent le ridicule ; et tout cela pour éviter la confrontation avec la présumée victime. Il entretient ainsi une confusion permanente et ramène tout à un complot imaginaire auquel seul lui et sa bande de fanatiques croient.

Pourquoi Ousmane SONKO ne veut-il plus aller au procès alors qu'il disait partout être impatient d'y être ? Pourtant, il n'hésite pas à saisir cette même justice pour attaquer d'honnêtes citoyens ?
Il ne doit point y avoir de dérobade. Il est vain de semer les graines du chaos, d’appeler au meurtre ou au sacrifice d’enfants.
Citoyen SONKO, vous devez prouver votre innocence devant le tribunal lors d’un procès public. Il s’agit d’un devoir envers les Sénégalais.
Citoyen SONKO, vous n’avez pas le monopole de la terreur et de la violence !
Citoyen SONKO, vous irez également au tribunal pour prouver vos accusations contre le citoyen Mame Mbaye NIANG !
Citoyen SONKO, soyez digne, pour une fois et surtout revenez sur terre !
Il n'y a pas de tribunal populaire des fanatiques et des exilés des réseaux sociaux. Le seul chemin qui existe est celui qui mène vers Dame justice, il n’y a point d'alternative.

Il revient à la jeunesse d'être vigilante, de refuser d'être l'agneau du sacrifice. Chers jeunes, soyez conscients que votre avenir n'est pas dans la rue.

Nous appelons l'État, dépositaire de la puissance publique, de faire respecter l'application de la loi dans toute sa rigueur. L'État doit rester fort.
La COJER/France