AFRIQUE, L’HISTOIRE TE TEND LA PERCHE, DE GRACE A TOI D’AGIR.

Mes chères sœurs et chers frères africains permettez-moi sans prétention aucune de m’exprimer, au nom des peuples sans voix du tiers-monde. Nous voilà aujourd’hui témoins de la marche inéluctable du continent africain vers une réelle prise en charge de nos innombrables besoins sanitaires. Je dis bien « prise en charge sanitaire », car il y a quelques jours (lundi 20 avril 2020), un bouleversement retentissant a secoué les pré requis de l’ordre mondial tel que nous le connaissons.
Ce bouleversement n’est rien d’autre que la découverte et mise sur le marché du Covid-Organics à Madagascar, notre grande île, creuset de plantes médicinales ancestrales reconnues depuis la nuit des temps. Cette tisane, pensée collégiale exclusivement réalisée à partir de l’artemisia afra par des chercheurs africains contre vents et marées et même l’adversité pressante de l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé).
J’ouvre une parenthèse en soulignant que l’OMS n’est plus crédible aujourd’hui dans sa lutte contre les diverses épidémies (SIDA, Paludisme, EBOLA...) qui déciment des millions de vies d’hommes, de femmes du tiers-monde et particulièrement d’enfants africains. Ce n’est nullement de l’incompétence des chercheurs et savants de l’OMS loin s’en faut. C’est uniquement parce que l’organisme mondial est en partie financé par des multinationales de laboratoires pharmaceutiques et des O.N.G privées, puisque les contributions Etatiques s’étiolent de plus en plus. Et comme ces bailleurs privés et étatiques ne sont nullement des mécènes au service du saint esprit, ils escomptent en retour retombées financières et surtout docilité du bénéficiaire vis à vis d’eux.
Par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gâtes avait investi 450 millions de dollars américains en 2017 en faveur de l’OMS pour disaient-ils « aider la recherche contre la malaria ». En vérité, le milliardaire américain ne faisait qu’un investissement juteux dans une filière sûre après ses déboires et pertes colossales dans les procès Microsoft aux USA et en Europe (pour abus de position dominante et pratiques anticoncurrentielles).
Pour rappel Microsoft (Bill Gâtes) a été condamné à payer le 22 janvier 2002, le montant astronomique de 750 millions de dollars à Time Warner; aux États Unis, puis, entre mars 2004 et septembre 2013, la coquette et rondelette somme de 1,921 milliards d’euros à l’Union européenne.
Le magma financier ébranlé décide tout à coup de s’investir dans « l’humanitaire ». On se demande : Comment un patron sans scrupule il y a peu dans l’informatique, qui broyait, sans coup férir, ses adversaires et concurrents, afin d’amasser le maximum de milliards de dollars sans partage, ait pu subitement se métamorphoser en philanthrope qui dépense sans compter et pour du beurre, en faveur des « pauvres » de la planète ?
Non, je ne le crois pas. La vérité c’est que ces bailleurs privés investissent ces fonds pour gagner encore plus d’argent. Ne jamais trouver de vaccins, mais fabriquer les médicaments assez chers et peu efficaces pour calmer le virus de la malaria pendant un court instant. Ainsi le patient (client de la pharmacie), tombera à nouveau malade et reviendra encore chercher le calmant souvent hors de sa portée financière. Le business doit toujours perdurer. C’est dans cette logique de protection de l’intérêt financier de ses bailleurs que l’OMS ne recommande quelque autre médicament aussi efficace soit-il parallèlement aux productions des laboratoires pharmaceutiques qui financent ses activités. Mieux, la tisane de l’artemisia afra, considérée comme principale concurrente de Lariam ou Méfloquine, Savarine ou Paludrine ou Atovaquone ou bien la plus connue de toute les molécules Chloroquine + Proguanil est carrément déconseillée par l’OMS. Plus surprenant et scandaleux, l’OMS et l’Europe interdisent la plante le mercredi 25 avril 2018 dans beaucoup de pays (Belgique, France,) elles l’on placée dans cette liste tant redoutée de plantes dangereuses au même titre que le cannabis (chanvre). Pour plus d’éléments sur le sujet je vous invite à voir un document sur Google : soirée avant-première malaria business.

Le sujet est passionnant et favorable aux digressions menant vers de vastes domaines de débats. Mais, je vous suggère de refermer cette longue parenthèse et de revenir au sujet de départ à savoir l’invention des chercheurs malgaches : le Covid-Organics, d’ores et déjà l’OMS émet de sérieuses réserves se basant sur son sacro-saint principe de précaution. Nous savons tous que la tisane en question n’est pas dangereuse. Et nombreux sont des savants honnêtes qui attestent de son efficacité contre le Plasmodium Falciparum. La plante dont elle est tirée est utilisée depuis des siècles en médecine chinoise. En 2015 Youyou Tu es devenue le premier prix Nobel de médecine chinoise pour avoir démontré l’efficacité d’une substance extraite de cette plante dans les traitements antipaludéens. Aujourd’hui le dérivé de cette plante appelé Artemesia afra est cultivé dans plusieurs pays africains et surtout à Madagascar malgré les réserves de ses détracteurs. Les chercheurs de l’Institut Malgache de Recherche Appliquées se sont appuyés sur l’artemisia afra et sur d’autres plantes secrètes pour développer le Covid-Organics. A son lancement officiel par le président malgache Andry Rajoelina succéda une véritable levée de boucliers à travers le monde. L’OMS en figure de proue flanquée de toute part de ses laboratoires pharmaceutiques et certains médecins esclaves de leur avidité d’appât du gain facile, poussent des cris d’orfraie. Ils scandent tous en cœur que la tisane malgache est dangereuse.
Je me pose une seule et unique question. Que peut-il arriver de pire à un malade Mbourois terrassé par le coronavirus et qui décide librement de s’abreuver de la tisane malgache ?
Du moment que nul autre traitement n’est jusqu’alors disponible sur cette planète peuplée de savants imbus de condescendances et d’ironies sur les réseaux sociaux, je peux dire sans risque de me tromper que ; au pire, il gardera le virus. La plante n’étant ni toxique ni dangereuse, il ne mourra pas du fait de la tisane.
J’ai vu un peu partout sur les plateaux de télévision, des pseudos spécialistes de maladies infectieuses d’ailleurs et même d’Afrique, baver leur venin sur les écrans de télévision pour dénigrer la « tisane africaine ». Ils feraient mieux de se terrer dans les salles de réanimations et ruminer leur échec cuisant car incapables qu’ils sont pour la plupart, de sauver les nombreux patients en détresse respiratoire fautes de médicaments efficaces. J’en veux pour preuve Mme le Dr Linda Kaboré de Côté d ivoire qui s’époumonait sur la chaîne CMIDI mettant en garde les ivoiriens contre la consommation de la tisane covid-Organics. C’est à vomir !!! Mme ne prend jamais garde de prescrire des médicaments de contrefaçon livrés dans la plupart des pharmacies de nos pays et elle ne peut en aucune façon ignorer cette triste réalité. On aurait dit que la plupart de ces larbins de services sont en mission commando envoyés, par l’industrie pharmaceutique mondialisée, friande de garder jalousement son pré carré financier menacé par des chercheurs africains.
On est même amené à se poser des questions de savoir si le PRÉSIDENT Macky Sall du Sénégal n’a pas reçu des menaces ou tout au moins des pressions qui émaneraient de forces obscures. Si non ; comment expliquer le virement à 180° qu’il a effectué. Après l’espoir immense qu’il a suscité en son peuple, (affolé par la pandémie), lorsque le Sénégal tout entier l’a vu converser et promettre de commander la tisane Covid-Organics au PRÉSIDENT malgache Randy Rajoelina.

Le lendemain après-midi, telle fut ma déception en lisant en première ligne, le démenti de la présidence de la république du Sénégal sur une commande de Covid-Organics.
On dirait que le Président Macky Sall et la presque totalité de ses homologues africains ont peur de quelque chose de beaucoup plus menaçant que le coronavirus qui secoue les fondements de l’existence de leur population. Je crois sincèrement que le président Sall et son gouvernement se sont trompés dans leur gestion de la pandémie. Mon propos n’est nullement de blâmer les gouvernants africains pour leur manque de préparation. Cette fois-ci, la préparation et la prévoyance ont été le talon d’Achille des pays développés (Etats Unis, Italie, Espagne et France). Il ne fallait donc surtout pas singer ces pays en imposant un couvre-feu (absurde dans le contexte économique africain). Dans la grande majorité de nos pays, seul M. le Président Patrick Talon du Bénin a été lucide : pas de couvre-feu ni confinement. S’il y avait eu un sondage en Afrique, les populations auraient opté de « mourir du coronavirus plutôt que de la famine » conséquence des lock-down.
Dites sans tarder aux présidents de mon continent de lever illico presto tous les couvre-feu absurdes (c’est à croire que chez nous, le virus dort profondément le jour et ne se promène que de nuit), imposés à tous. Et de saisir la seule et unique buée de sauvetage : le Covid-Organics de notre grande île. Procurez-vous-en et entamez le traitement attendu tel un messie car pour la première fois l’Afrique peut se servir en premier. Je vous suggère au besoin dans la commande que vous ferez, ajoutez des boules Quies pour ne pas entendre ces thuriféraires valets (O.M.S) flagorneur en chef des laboratoires pharmaceutiques. Ou bien pensez en cœur « le chien aboie, la caravane passe »
Pensées de confiné. Mardi 28 avril 2020.

Lamine BADJI