Coronavirus : la presse sénégalaise infectée, les coupables démasqués
L’Association nationale des professionnels de la presse en ligne du Sénégal (Anpels) remercie le président de la République, Macky Sall pour l’audience accordée à la presse sénégalaise dans le cadre de la lutte contre le COVID-19. L’Anpels se fait le point d’honneur de magnifier toutes ces initiatives d’envergure qui visent une union sacrée de tous les Sénégalais, en vue de combattre farouchement le Coronavirus.
En outre, l’apaisement du climat politique national consécutif aux audiences qu’il a accordées aux leaders politiques, aux mouvements citoyens, aux syndicalistes, bref, à toutes les franges de la société sénégalaise, témoigne de son ouverture, son entregent et sa volonté inaliénable de gouverner le Sénégal dans la paix et la protection de tous les citoyens contre le Covid-19.
L’Anpels salue également le génie sénégalais incarné par le président de la République, en invitant tous les Sénégalais à se joindre à lui, pour vaincre le combat contre le coronavirus. A cet effet, nous demandons aux Sénégalais de faciliter au corps médical son travail, en respectant les mesures d’hygiène édictées, pour freiner la propagation de la pandémie dans le territoire national.
Sur le plan médiatique, l’Anpels s’engage pleinement à jouer son rôle d’alerte et de sensibilisation au sein des populations. Et ce, en toute responsabilité dans sa mission de service public. Par ailleurs, l’Anpels qui est une association légalement reconnue (Récépissé N° 18317 /MINT.SP/DGAT/DLP/DLA-PA) et sans nul doute la plus représentative du pays, dénonce vigoureusement l’ostracisme et le copinage notés dans la distribution des quotas d’autorisations spéciales à circuler durant le couvre-feu.
Elle s’offusque des manœuvres malsaines d’un groupe de journalistes qui veulent « patrimoinialiser » la presse nationale à des fins mercantiles et personnelles. L’heure n’est pas à la division. En cette période de crise sanitaire, ces journalistes devraient avoir un autre comportement que de profiter de cette occasion pour régler des comptes. Par conséquent, l’Anpels qui ne compte pas se laisser faire, interpelle le ministre de l’Intérieur pour être rétablie dans ses droits.
Leral