LE CLASSEMENT DU BALLON D'OR 2021
1er : Lionel Messi (PSG / Argentine), 613 points
La septième merveille de "Leo". La moins belle ? Peut-être, mais Messi est encore un plus entré dans l'histoire du football ce lundi en remportant un nouveau Ballon d'Or. Malgré une année pas vraiment flamboyante, l'attaquant du PSG a permis à l'Argentine de remporter la Copa America. Un objectif qu'il s'était fixé depuis le début de sa carrière. En club, la Pulga n'a pas vraiment brillé, sortie en 8e de finale de Ligue des champions avec le Barça, puis battu par l’Atlético de Madrid en Liga. Avec Paris, le bilan est encore mitigé. Mais la capitale est placée sous son signe ce lundi soir. Il n'y a pas que la Tour Eiffel qui brille ce soir dans la Ville Lumière.
La septième merveille de MessiLa septième merveille de Messi
BALLON D'OR
2e : Robert Lewandowski (Bayern Munich / Pologne), 580 pts
Il était le favori pour beaucoup. Mais rien n'y a fait. Malgré une année 2021 aux chiffres fous, comme souvent avec lui, Roberto Lewandowski échoue à la deuxième place du Ballon d'Or. Probablement une déception pour celui qui battu le record de 41 buts marqués en une saison de Bundesliga, dépassant la marque du légendaire Gerd Müller (40 buts en 1971-1972). Une (très) maigre consolation pour l'international polonais : la victoire du nouveau trophée du meilleur buteur. Ah, si l'édition 2020 n'avait pas été annulée...
3e : Jorginho (Chelsea / Italie), 460 pts
L'Italie y a longtemps cru. Mais quinze ans après Fabio Cannavaro, elle ne ramènera pas le Ballon d'Or à la maison. Annoncé comme l'un des favoris, Jorginho doit donc se contenter de la 3e place. Et ce malgré les nombreux trophées remportés cette année : la Ligue des champions et la Supercoupe d'Europe avec Chelsea, l'Euro 2020 avec l'Italie... Maître d'orchestre de son club et de sa sélection, le milieu de terrain travaille dans l'ombre pour que ses équipes atteignent la lumière. On peut même dire qu'il le fait à merveille. Mais les collectifs (Chelsea/Italie) ont probablement pris le pas sur l'individualité, divisant les voix et ne permettant pas à Jorginho de triompher.