Macky Sall : « l’État doit se donner les moyens d’assumer pleinement ses prérogatives régaliennes pour garantir la paix »

21 - Septembre - 2021

A l’occasion de la célébration de la journée internationale de la paix, le président Macky Sall s’est exprimé sur la question. Dans un tweet, le président Sall estime que « l’État doit se donner les moyens d’assumer pleinement ses prérogatives régaliennes, pour garantir la paix, la sécurité et la stabilité ».

« La journée internationale de la paix est célébrée cette année dans un contexte de crise pour l’humanité. Face aux défis actuels, l’État doit se donner les moyens d’assumer pleinement ses prérogatives régaliennes, pour garantir la paix, la sécurité et la stabilité », twitté le chef de l’Etat qui participe à la 76 session de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York.

Commentaires
0 commentaire
Laisser un commentaire
Recopiez les lettres afficher ci-dessous : Image de Contrôle

Autres actualités

23 - Juillet - 2020

Émigration clandestine : Deux Sénégalais morts dans un naufrage

Les corps de deux Sénégalais ont été repêchés après un naufrage, survenu dans la nuit du lundi à mardi, dans le détroit de Gibraltar....

23 - Juillet - 2020

Noyade à la plage de Malika

Le corps sans vie d'un jeune, habitant à Tivaouane Peul, a été repêché à la plage de Malika. Selon L'AS, les baigneurs ont découvert le cadavre...

23 - Juillet - 2020

Foudre meurtrière: Macky demande à Aly Ngouille Ndiaye une généralisation des paratonnerres dans tout le pays

A peine l’hivernage installé, des compatriotes ont été victimes de la foudre. Dimanche, un jeune garçon du nom de Lamine Boye Faye a été tué...

23 - Juillet - 2020

COVID - 19 : 145 NOUVEAUX CAS TESTES POSITIFS, 62 NOUVEAUX GUERIS, 1 NOUVEAU DECES ET 47 CAS GRAVES EN REANIMATION.

Sur 1170 tests réalisés, 145 sont revenus positifs au coronavirus soit un taux de positivité de 12,39%. Il s’agit de 119 cas contacts suivis et 26 cas issus de la...

22 - Juillet - 2020

Casamance: les victimes oubliées d’un conflit sans fin

"On va tous mourir ici. » Bakary* se souvient de cette phrase chuchotée par sa mère la nuit du 7 novembre 1992. Il avait alors six ans. Allongé face contre terre dans...